Carnet du visiteur
Carnet du visiteur
{{post.formatdate}} {{post.heure}}
Voir la fiche de l'auteurFaites-nous part de votre appréciation en remplissant ce court sondage et courez la chance de gagner des livres en cadeau!
Fondées à Montréal en mars 2003, les éditions Mémoire d’encrier se sont fixé pour mandat de réunir des auteur.e.s de diverses origines autour d’une seule et même exigence : l’authenticité des voix. Mémoire d’encrier est ce lieu-carrefour où se tissent rencontres, dialogues et échanges pour que les voix soient visibles et vivantes. Mémoire d’encrier publie de la fiction : roman, récit, nouvelle; aussi de la poésie; des essais et des chroniques. Un catalogue diversifié aménage des passerelles entre cultures et imaginaires du monde.
Deux femmes s’écrivent. Ouanessa Younsi, née d’une mère québécoise et d’un père algérien, représente la nouvelle génération de poètes québécoises. Louise Dupré, marquée par le bouillonnement de la Révolution tranquille, est l’autrice d’une œuvre considérable. Les deux se racontent. "Nous ne sommes pas des fées" met en dialogue deux générations et expériences. Chemins d’amitié et de poésie entre femmes.
Éditeur : Mémoire d’encrier
Deux femmes s’écrivent. Ouanessa Younsi, née d’une mère québécoise et d’un père algérien, représente la nouvelle génération de poètes québécoises. Louise Dupré, marquée par le bouillonnement de la Révolution tranquille, est l’autrice d’une œuvre considérable. Les deux se racontent. "Nous ne sommes pas des fées" met en dialogue deux générations et expériences. Chemins d’amitié et de poésie entre femmes.
« Faut-il se perdre en l’autre pour mieux se retrouver ? » "Pomme Grenade" creuse les chemins de l’amour et de l’intimité. Hors frontières et tabous, se laisser aimer, toucher, désirer.
Éditeur : Mémoire d’encrier
« Faut-il se perdre en l’autre pour mieux se retrouver ? » "Pomme Grenade" creuse les chemins de l’amour et de l’intimité. Hors frontières et tabous, se laisser aimer, toucher, désirer.
Mélikah Abdelmoumen explore l’amitié qui lia William Styron et James Baldwin. Le premier, un Blanc descendant de propriétaires d’esclaves, surtout connu pour son roman Le choix de Sophie. Le second, un Noir descendant d’esclaves, célèbre pour ses prises de parole et ses œuvres antiracistes. Alors qu’il logeait en 1961 chez Styron dans le Connecticut, Baldwin l’aurait convaincu d’écrire au « je » le récit de la révolte d’esclaves menée par Nat Turner en 1831 dans le sud des États-Unis. Un défi que Styron releva en publiant Les Confessions de Nat Turner, prix Pulitzer 1968. Il fut alors accusé d’appropriation culturelle dans un ouvrage écrit par dix écrivains afro-américains. L’autrice québécoise Mélikah Abdelmoumen, Saguenéenne par sa mère et Tunisienne par son père, part à la rencontre de ces deux célèbres auteurs américains du 20e siècle, lesquels auront amorcé le débat entourant les brûlantes questions de l’appropriation culturelle et de la liberté de l’écrivain.
Éditeur : Mémoire d’encrier
Mélikah Abdelmoumen explore l’amitié qui lia William Styron et James Baldwin. Le premier, un Blanc descendant de propriétaires d’esclaves, surtout connu pour son roman Le choix de Sophie. Le second, un Noir descendant d’esclaves, célèbre pour ses prises de parole et ses œuvres antiracistes. Alors qu’il logeait en 1961 chez Styron dans le Connecticut, Baldwin l’aurait convaincu d’écrire au « je » le récit de la révolte d’esclaves menée par Nat Turner en 1831 dans le sud des États-Unis. Un défi que Styron releva en publiant Les Confessions de Nat Turner, prix Pulitzer 1968. Il fut alors accusé d’appropriation culturelle dans un ouvrage écrit par dix écrivains afro-américains. L’autrice québécoise Mélikah Abdelmoumen, Saguenéenne par sa mère et Tunisienne par son père, part à la rencontre de ces deux célèbres auteurs américains du 20e siècle, lesquels auront amorcé le débat entourant les brûlantes questions de l’appropriation culturelle et de la liberté de l’écrivain.
Éditeur : Mémoire d’encrier
Éditeur : Mémoire d’encrier
Deux femmes s’écrivent. Ouanessa Younsi, née d’une mère québécoise et d’un père algérien, représente la nouvelle génération de poètes québécoises. Louise Dupré, marquée par le bouillonnement de la Révolution tranquille, est l’autrice d’une œuvre considérable. Les deux se racontent. "Nous ne sommes pas des fées" met en dialogue deux générations et expériences. Chemins d’amitié et de poésie entre femmes.
Éditeur : Mémoire d’encrier
« Faut-il se perdre en l’autre pour mieux se retrouver ? » "Pomme Grenade" creuse les chemins de l’amour et de l’intimité. Hors frontières et tabous, se laisser aimer, toucher, désirer.
Éditeur : Mémoire d’encrier
Mélikah Abdelmoumen explore l’amitié qui lia William Styron et James Baldwin. Le premier, un Blanc descendant de propriétaires d’esclaves, surtout connu pour son roman Le choix de Sophie. Le second, un Noir descendant d’esclaves, célèbre pour ses prises de parole et ses œuvres antiracistes. Alors qu’il logeait en 1961 chez Styron dans le Connecticut, Baldwin l’aurait convaincu d’écrire au « je » le récit de la révolte d’esclaves menée par Nat Turner en 1831 dans le sud des États-Unis. Un défi que Styron releva en publiant Les Confessions de Nat Turner, prix Pulitzer 1968. Il fut alors accusé d’appropriation culturelle dans un ouvrage écrit par dix écrivains afro-américains. L’autrice québécoise Mélikah Abdelmoumen, Saguenéenne par sa mère et Tunisienne par son père, part à la rencontre de ces deux célèbres auteurs américains du 20e siècle, lesquels auront amorcé le débat entourant les brûlantes questions de l’appropriation culturelle et de la liberté de l’écrivain.
Éditeur : Mémoire d’encrier
1260, rue Bélanger, burau 201
Montréal, Quebec, H2S 1H9
514 989-1491
info@memoiredencrier.com
http://memoiredencrier.com/